Dans sa performance vidéo "SOGI MAI", l’artiste réactive la pratique du sogi (so-ngi) par laquelle deux êtres se saluent à travers le partage sacré de leurs souffles.
Né·e en 1986, l'artiste Léuli Eshrāghi possède des racines samoanes, persanes et cantonaises, qui sont le moteur d’une démarche à travers laquelle iel cherche à réveiller les mémoires des communautés autochtones et de la diaspora.
Dans sa performance vidéo "SOGI MAI", l’artiste réactive la pratique du sogi (so-ngi) par laquelle deux êtres se saluent à travers le partage sacré de leurs souffles. Ce geste met en lumière les dynamiques interculturelles en réunissant des individus d'origines ethniques différentes. Il crée un espace intime, une zone de contact éphémère pour ces communautés dispersées, qui été autrefois réunies.